46 - Mes Slips Pour L’Été, Au Dessous De Ma Taille (2) :

46 - Mes slips pour l’été, au dessous de ma taille (2) :
Dans la journée, j’ai contacté celui qui travaillait au magasin, nommé Brik, pour l’informer de mon plan et je l’ai chargé de le dire à son copain Kadi. J’ai passé une bonne journée en farniente, me réservant pour le sport sexuel l’après midi et la nuit. A 16h pile, on cogna à ma porte et c’est Kadi qui se présente. Mais il n’était pas seul. Il était accompagné d’un colosse qui faisait au moins 1m 90 et large de poitrine. Il était en bras de chemise et ses longs bras étaient très poilus ainsi qu’une bonne partie de ses mains. Son visage mal rasé était coupé par deux grosses moustaches qui cachaient ses lèvres, mais il devait sourire car ses yeux me semblaient gentils, timide et souriaient de malice. Les deux compères s’assirent au salon et Kadi m’expliqua que lorsque son ami Mabrouk, le géant, avait été mis dans la confidence par Brik, il a décidé de venir juste pour voir de ses propres yeux tes slips minuscules sur tes fesses. Aussitôt que Mabrouk entendit cela, il m’a demandé tout de suite de me montrer la chose. Je pensais qu’il partirait dès qu’il aura vu ce qu’il désirait, mais dans mon for intérieur, je n’y croyais pas et, sincèrement, j’étais enchanté de sa présence qui commençait à me chatouiller au cul. Rapidement, je suis passé dans la chambre pour me changer.
Dès que j’ai enlevé mon pantalon de jogging et, nu à partir la ceinture, je me suis baissé pour ouvrir le tiroir où se trouvaient mes slips, j’ai senti qu’on me caressait, même durement, les fesses. Me retournant, j’ai constaté que Mabrouk m’avait suivi dans la chambre et me tenait les hanches à pleines mains. J’ai essayé de protester, en réalité faiblement, mais il a insisté en me désignant le tiroir. Je me suis baissé, encore, pour ouvrir le tiroir, et ainsi, je lui offrais en totalité la largeur de mon derrière, mes hanches et mes fesses. J’étais agréablement excité. Sa main et son doigt inquisiteur sont allés directement vers mon anus.

Je l’ai entendu qu’il mouillait ses doigts et il a réussi immédiatement à faire pénétrer l’un d’eux dans mon anus. Je suis resté, courbé et immobile, retenant mon souffle car je désirais follement qu’il continue à me doigter le cul, ces contacts commençaient à me donner des frissons sur tout mon corps. Courbé devant le tiroir ouvert, et le derrière tendu et gonflé vers Mabrouk, j’attendais la suite des caresses. Mais il m’a dit, de lui montrer les slips, sans s’arrêter de me chatouiller le cul de l’intérieur. J’ai tiré le slip le plus petit, et me penchant encore plus, jusqu’au sol, j’ai enfilé une jambe, puis la seconde. Dans mon mouvement, mon derrière s’est gonflé et élargi au maximum et mes hanches se sont écartées pour mieux offrir le sillon de mes fesses et mon cul aux doigts agréablement inquisiteurs. Puis, lentement, j’ai commencé à remonter le slip sur mes jambes.
Mais, avant d’arriver à mes cuisses, j’ai senti Mabrouk qui se collait entièrement à mon derrière, à mon cul plus exactement et, surprise agréable, c’était la chair de son zob qui me chatouillait les fesses. Je n’ai pas pu empêcher de lancer un « ahhhh » prolongé et plaintif de contentement. J‘ai essayé de me redresser pour remonter le slip, mais c’est Mabrouk qui a empoigné l’étoffe et me l’a enfilé sur les cuisses puis sur les fesses. c’étais le tableau qu’il fantasmait depuis que notre ami Brik lui en a parlé. Et, tout en ajustant le slip sur mes fesses, il empoignait la chair de mes hanches qui débordaient de part et d’autre du slip et les malaxaient durement avec ses mains avides. Cette chair qui débordait doit lui donner de l’excitation et du désir et la rudesse de ses caresses traduisaient clairement la puissance de son désir qui mes fesses et mon cul. Et moi, j’étais déjà, entièrement, à lui, à ses mains et à son zob. Alors, il écarta le slip d’entre mes fesses pour accéder à mon anus. Puis il me poussa pour me courber encore et, m’écartant d’autorité, les jambes et cuisses, il glissa son zob dans le sillon de mes fesses.
Oh ! quelle sensation folle et merveilleusement agréable, que ce contact de cette chair, de ce zob que j’attendais avec impatience depuis un bon moment. Puis, il cracha sur ses mains, je l’ai entendu, certainement pour se lubrifia le zob, il pointa son pieu de chair dur l’entrée de mon anus et poussa avec force. Sans trop de difficultés, il me pénétra sans ménagements. Heureusement que j’avais assez bien préparé mon cul, tout à l’heure, pour mes amis et en prévision d’une chaude soirée sexuelle. .
Puis il accrocha mes hanches et commença ses vas et viens avec une fougue telle que je fus tout de suite échauffé et affolé de désir. A chacun de ses coups de reins, son ventre claquait sur mes fesses et ses couilles sur mes cuisses. Soudain, il accrocha le slip qui devait le gêner et il tira dessus fortement jusqu’à ce qu’il éclate et se déchire, puis il le jeta par terre et ajusta son zob. Oui, il a bien fait, j’étais maintenant aussi à l’aise avec mes fesses et mon cul bien nus et offerts totalement à nos désirs communs. Alors, il poussa son zob à fond et j’ai eu la sensation qu’il s’est enfoncé encore plus loin qu’avant dans mon cul. Cette violence et ces contacts d’une nouvelle zone de mon cul ont provoqué dans tout mon corps, des ondes et frissons agréables de jouissances continues et qui m’ont à hurler mon plaisir. J’entendais Mokhtar qui ricanait bruyamment de plaisir en lançant des mots dont je n’ai saisi que « zob » et « Terma » et il reprit ses vas et viens accélérés en me secouant encore plus fortement les hanches. Ce long et énergique pilonnage de son zob me rabotait l’intérieur du cul sans ralentir et c’était très agréable et follement jouissif, et je désirais que ça continue sans arrêt. Malgré quelques étourdissements de plaisirs, j’avais conscience et peur que Mokhtar, par cette folle énergie, n’arrive trop vite à son top et n’éjacule trop tôt à mon désir. Son zob, que je goutais maintenant à fond dans mes entrailles, mais que je n’avais pas encore vu, je l’ai ressenti énorme quant il m’a écarté l’anus et m’a défoncé le cul.
Ce pieu qui me remplissait le cul me semblait aussi être agréablement épais et lourd dans sa danse à l’intérieur de mes entrailles. Ces qualités ressenties dans mon corps et fantasmées dans ma tête, me faisaient danser moi aussi au rythme de ses coups de reins et amplifiaient mes jouissances. Je devinais sa grosseur et sa puissance mâle et cela m’excitait encore plus et le plaisir coulait dans mon cul.
Hélas, comme je l’avais craint, cette danse affolante et ces jouissances qui m’inondaient le corps furent trop rapides et il éjacula fortement par quatre jets chauds et abondants. Malgré ma déception, j’ai quant même gouté cette abondance de sperme chaud qui m’a rempli totalement les entrailles et me chatouillait agréablement la chair interne de mon cul. J’ai aussi ressenti les coups de reins qu’il donnait à chaque éjaculation et les frétillements de son zob à l’intérieur. Tout cela ajoutait à mon plaisir et à mes jouissances. Ensuite, il se dégagea, mais j’ai réussi à me retourner rapidement pour voir son gros zob encore debout et luisant de sperme blanc. En effet, j’avais raison, son zob était énorme en comparaison avec ceux de Kadi et Brik et nettement plus long et plus large, épais. Heureusement que mon cul était habitué aux gros zobs, sinon il m’aurait déchiré l’anus et défoncé le derrière. Maintenant, devant moi, le gros zob était encore pointé vers le haut, gonflé pour d’autres plaisirs, d’autres sodomies et moi j’étais toujours preneur, il fallait donc agir vite. Alors je l’ai empoigné à pleines mains, sensation enivrante de cette énorme masse de chair palpitante. Il était lourd, chaud et dégageait une puissance virile, affolante. Il était aussi dur comme du fer, mais aussi d’une douceur ensorcelante. Totalement gonflé, il était prêt pour d’autres sodomies, d’autres saillies violentes, même si ses couilles avaient disjonctées trop tôt ! Alors, il fallait les remplir de nouveau par mes sussions et mes branles. Aussitôt, j’ai mis le zob dans ma bouche et j’ai commencé à le sucer et à le branler avec énergie car je désirais follement encore le gouter dans mon cul, il était si possesseur, si envahisseur dans mes entrailles et avec force mâle et virile.
A cet instant, j’étais sa femelle, son esclave et je le désirais vivement, très rapidement. Mabrouk restait debout, encore sous les effets de son plaisir et de son éjaculation abondante. Bien dressé sur ses jambes écartées, les bras ballants, il avait le zob pointé en avant prêt à l’abordage.
Malgré que je sentais son sperme qui collait sur mes fesses et qui coulait un peu sur mes cuisses, je n’ai pas hésité, j’en avais encore trop envie de ce gros et lourd zob, plein de plaisirs et de tentations. Mon cul était encore chaud et affamé et ses démangeaisons ont repris avec force. . Alors, j’ai poussé Mabrouk sur le lit juste à coté. Je l’ai obligé à se coucher sur le dos, avec son zob dressé verticalement et je me suis assis sur ses cuisses. Ensuite, avec un râle de plaisir, j’ai enfoncé son gros zob dans mon cul, une seconde fois. Cette fois, malgré le sperme qui facilitait la chose, j’ai quant même gouté l’agréable sensation de la pénétration de son zob, le merveilleux effort de son pieu de chair qui écartait l’entrée de mon anus et qui glissait, en maitre, à l’intérieur de mon cul. C’était un mouvement qui me procurait beaucoup de jouissances, alors j’ai désiré le répéter. Oui, je me suis soulevé pour faire sortir le zob de mon cul et cela fut aussi une sensation inédite pour mon anus qui perdait son maitre, comme une bouche qui restait ouverte, assoiffée. Puis j’ai replongé le zob dans mon cul et quelle agréable sensation que le passage de ce mâle par mon anus. Oui ! ce fut aussi agréable et jouissif que la fois précédente et j’ai gueulé mon plaisir « ahhhh ! » et je me suis enfoncé pour pousser le zob jusqu’aux couilles et me remplir la chair de mon cul complètement. Il restait formidable, gonflé, dur et doux à la fois. Ensuite, j’ai répété cette action plusieurs fois pour augmenter mes jouissances. Même Mabrouk a eu aussi sa part de plaisir dans mes actions. Chaque fois que je sortais son zob de mon cul, il avait une sorte de hoquet comme s’il perdait son souffle et, ensuite lorsque je renfonçais vivement son pieu à travers la douceur de mon anus, puis durant la lente glissade tout au fond dans mes entrailles, il retrouvait sa respiration et poussait un long « ahhhh » de jouissances. On était en phase, et nous avons profité de cette méthode pendant un long moment et on l’a fait durer au maximum, tant que les frottements du zob, de l’anus et de la chair du cul nous procuraient des jouissances.
Hélas, après cette longue série de sorties-entrées agréables, mon anus, s’était totalement adapté au volume du gros zob et restait en permanence ouvert, ce qui a diminué nos fortes sensations de pénétrations. Et c’est ainsi que mon anus permettait, maintenant, au zob de rentrer directement en contact avec l’intérieur de mon cul et de glisser totalement rapidement jusqu’au fond de mes entrailles. Alors, j’ai commencé à danser sur lui, à le branler avec mon cul, à droite et à gauche, en haut et en bas, et même en faisant des rotations du derrière pour mieux ressentir les frottements de son zob dans mon cul. Ces mouvements étaient tels que mon cul mouillait de l’intérieur et poussait les restes de sperme vers l’extérieur. C’était quant même doux et agréable. Maintenant que je possédais ce zob, je le ressentais comme une entité qui m’appartenait, qui faisait corps avec mes entrailles, comme un de mes doigts, mais en plus gros et en plus doux, qui me branlait le cul avec énergie. Je coulais de jouissances, j’étais inondé de plaisir et je souhaitais que ça ne finisse jamais. Je désirais garder cet pieu de chair virile dans mon cul pour l’éternité. Je suais mais je n’étais pas fatigué, plutôt en grande forme pour continuer encore longtemps. Chaque fois que je m’enfonçais sur le zob, en plus du plaisir affolant de la glissade, je touchais ses poils de pubis, très fournis, et ses grosses couilles et cela amplifiait mon plaisir et mes fantasmes. J’ai écarté sa chemise et je farfouillais sur la toison fournie de sa poitrine et ça m’excitait encore plus. Ça m’excitait d’autant plus que mon corps était, au contraire, presque totalement imberbe, presque féminin et la vue et le toucher de ces poils masculins et abondants me brulaient la tête et le cul de désir. Ses poils descendaient le long de sa poitrine jusqu’à son zob, un vrai mâle poilu et viril. J’avais complètement oublié les autres Brik et Kadi. Cet homme et son corps me suffisaient pour toujours. Je continuais à jouer et danser sur son zob, avec mon cul et mon derrière qui frottait ses couilles et ses poils et je perdais presque conscience.
Hélas, tout a une fin. Mabrouk, a cause de mes gesticulations en tous sens et la violence de mes vas et viens arriva à son top, ses couilles se sont remplies et prêtes à expulser leur jus. Alors, Mabrouk s’accrocha à mes hanches, le corps tendu, il prit les choses en mains. Il se tendit et souleva ses reins, puis il commença ses coups de reins et ses vas et viens énergiques. Pour mieux gouter ses coups de boutoir dans mon cul, j’ai préféré m’arrêter dans mes mouvements. Je restais immobile, penché sur lui, seulement à lui caresser la poitrine et les poils, à lui mordiller le cou et les oreilles. Parfois seulement, j’essayais de me soulever légèrement pour aider son zob dans ses mouvements d’enfoncements dans mon cul. Et rapidement, il éjacula encore une fois, quatre ou cinq jets de sperme dans mes entrailles. Encore une fois, je ressentais bien son sperme qui me remplissait mais qui pulsait aussi de mon anus assez ouvert. Il coulait sur mes fesses et sur les couilles de Mokhtar et sur le lit. Une merveille que ce sperme abondant qui devrait éteindre le feu et les démangeaisons de mon cul affamé de zob.
On est resté un moment sans bouger, les souffles qui se calmaient lentement. Ces deux sodomies m’ont, certes, fait plaisir et m’ont donné beaucoup de jouissances et je pourrais m’en contenter. Mais je voulais savoir si ce géant avait d’autres capacités sexuelles, s’il était capable de bander encore et de me sodomiser une troisième fois, et peut-être éjaculer. Alors j’ai commencé à l’aguicher juste pour l’expérience. Je lui ai murmuré à l’oreille, qu’il a été formidable, que je n’avais vu et connu un zob aussi capable et gros que le sien, et que j’en redemandais encore s’il en était capable. Que je ne pouvais plus me séparer de ce zob merveilleux qui était comme un pieu de fer dur et si doux à la fois et que mon cul me démangeait encore. Que j’étais encore affamé et que je voulais le garder totalement pour moi, cette nuit et les nuits suivantes. Tout en lui murmurant ces demandes, je recommençais à osciller légèrement du derrière. Son zob était encore dans mon cul et je sentais que mes paroles influaient sur lui car il me semblait qu’il se regonflait petit à petit. Et soudain, Mokhtar me poussa pour sortir son zob de mon cul et me poussa sur le coté. Puis, il se redressa et me poussa à me mettre à quatre pattes sur le lit. Et vivement, il se pointa derrière moi, à genoux entre mes cuisses et enfila son zob dans mon cul encore en partie ouvert. Ma tentative a donc réussi et mon cul va avoir encore une troisième sodomie par ce géant infatigable. Il allait me sodomiser, me niquer par derrière, alors je me suis bien positionné les cuisses largement ouvertes et l’anus aussi. Il enfonça son zob jusqu’aux couilles, malgré les restes de sperme qui nous inondaient tous les deux. Et il recommença ses vas et viens, toujours avec énergie. Cet homme est un phénomène, infatigable. Certes, je l’avais aguiché, provoqué et qu’il avait une stature qui pouvait expliquer sa formidable énergie et son gros zob toujours gonflé, mais c’était quant même un cas. Une troisième sodomie presque de suite ne me semblait pas rare pour des hommes comme Mokhtar, alors, je me donné à fond à cette nouvelle saillie par derrière et j’ai arrondi au mieux mon derrière et ouvert à fond mon anus et mes entrailles à ce monstre si doux et si dur à la fois.
Je n’avais plus la décision du plaisir, mais dans mon cul, c’était le feu, brulant mais jouissif, agréablement jouissif. Mokhtar a commencé par des glissades lentes, follement lentes tout le long de mes entrailles. J’en hurlais de plaisir et mon souffle s’accélérait. Je sentais que lui aussi, soufflait bruyamment avec des « han » chaque fois qu’il s’enfonçait et cela ajoutait à mes jouissances. J’avais déjà deux sodomies dans mon cul, mais cette fois, elle avait un gout de viol, car comme une pucelle, je l’avais provoqué, dragué, alors il m’a sauté dessus et, dans son esprit, il était en train de me violer, de me prouver sa virilité, la puissance de son zob. Déjà la première fois, il m’avait prit et niqué, debout, presque par surprise, comme un viol et j’avais été très facilement consentant. Peut-être aussi, il pensait autrement, qu’il allait me donner un cadeau par cette troisième sodomie par derrière, suite à mes supplications murmurées. En tous cas, il continuait et même accélérait ses vas et viens et ses coups de reins devinrent violent. Ça claquait sur mes fesses et mes cuisses et j’étais secoué à fond sur le lit, heureusement qu’il me tenait par les hanches. On hurlait et nos souffles étaient affolés et enfin, son zob éclata son sperme. Une éjaculation aussi violente, chaude et abondante que les autres. Enfin, il me semblait que c’était plus violent et abondant qu’avant. En tous cas j’ai bien gouté agréablement le remplissage chaud de mes entrailles et mon cul coulait de plaisir. Et les frottements du zob et les jouissances qui en découlaient, dans cette position, je les ressentais plus fortement que les précédentes, et son jus était aussi chaud et abondant que la première fois. Oui, dans cette position, la tête reposée sur le lit et le cul en l’air, je ressentais bien le remplissage de mes entrailles, et par le gros zob et par le sperme abondant de Mabrouk. Enfin, s’étant bien vidé, il s’effondra sur mon dos et son poids m’obligea à m’étendre totalement sur le lit. Il resta couché sur mon dos et son zob à l’intérieur de mon cul. On est resté ainsi plus longuement que les autres fois. On était fatigués, du moins en ce qui me concerne. J’avais l’impression qu’il s’était endormi, alors je l’ai secoué et il se coucha à mon coté. Moi, je restais sur le ventre et les jambes, cuisses et fesses largement écartées. Je ressentais le doux sperme encore à l’intérieur de mon cul et ça me chatouillait un peu. Je n’allais quant même pas demander une autre sodomie, je serais raisonnable et j’attendrais la nuit.
Alors je me suis levé pour aller aux toilettes. Le sperme coulait toujours sur mes cuisses et ça me faisait plaisir comme le cadeau des sodomies de Mokhtar, le géant. C’est alors que je me suis rappelé de Kadi qui était venu avec Mokhtar. Je me suis nettoyé dans les toilettes puis, revenu au salon j’ai cherché Kadi, mais il n’y avait personne. Il est donc parti, voyant que les choses n’ont pas tourné comme prévu. La réaction brutale de Mokhtar pour me prendre par surprise, pour me sodomiser en vitesse, pour me niquer et gouter mon cul avec mon consentement bruyamment visible, a été aussi une surprise pour Kadi, alors il a abandonné le terrain à son ami géant. Dès demain, j’irais le voir pour m’excuser et lui donner l’occasion de contenter son zob, peut-être même immédiatement chez lui, on verra. Puis je suis retourné dans la chambre.
Mabrouk était resté allongé sur le dos, les yeux fermés, les jambes écartées et le zob allongé sur sa cuisse droite. Malgré son apparence fatiguée, son épaisseur et sa longueur au repos sont assez énormes. En tout cas, pour moi, il était excitant. Je me suis allongé à coté et j’ai saisi son zob. En effet, même au repos, il était lourd, agréablement lourd et excitant. Alors, agréablement attiré, je l’ai empoigné et rapidement je l’ai enfoui dans ma bouche pour le sucer et le nettoyer. Oui, il était gluant de sperme mais dès que je l’ai sucé quatre ou cinq fois, il est redevenu lisse, brillant et affolant de puissance. Il ne bandait pas mais il pouvait donner du plaisir même dans un cul, en poussant un peu, mais je n’ai pas osé. Je me réserve pour la nuit, dans trois ou quatre heures. En aspirant un peu son gland, j’ai même réussi à gouter de son sperme, dont quelques restes continuaient à filtrer de son zob. Le zob était tellement gros, à mon sens et avec ce sperme que j’engloutissais, et mes mains qui entouraient ce pieu de chair sexuelle, que j’avais encore envie de lui. Oui, malgré ces trois sodomies à la suite, le fait même de voir ce zob et ce corps géant de Mabrouk, ça me démange. Il s’est réveillé et m’a souri, puis il a mis une main possessive sur mon derrière pour me caresser et l’autre dans mon dos, et il m’a serré contre lui. Je voulais lui faire sentir qu’il me plaisait et que je le voulais pour moi, alors je l’ai embrassé sur la bouche comme une amante. Il m’a regardé avec étonnement et sa main a appuyé ses caresses et ses massages sur mes hanches avec plus de vigueur. Je ne crois pas qu’il m’ait compris mais ça ne fait rien, moi j’ai compris que l’important pour lui c’etait le sexe, le cul et les sodomies. Faire plaisir à son zob, c’est tout son programme, mais c’etait aussi le mien car cela fera plaisir à mon cul. J’ai besoin de son gros zob et non de son amitié pour satisfaire les démangeaisons et les feux de mon cul. Je pensais à l’autre copain, Brik prévu pour ce soir. Ce sera difficile car il trouvera déjà Mokhtar dans mon lit, dans mon cul, dans ma bouche, je ne sais pas comment je vais gérer l’affaire. Mais s’il y a problème et choix, moi et mon cul n’hésiteront pas ! On verra !

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